- Article précédent: « Les Algues vertes » : des maires se braquent contre le film
- Article suivant: Nouvelle enquête : « En Bretagne, la méthanisation sous pression »
Imerys, mastodonte de l’industrie minière, pèse lourd à Glomel (22). Alors que la multinationale vient d'obtenir l'autorisation de creuser une quatrième fosse, des analyses réalisées…
Crééé en 1964 à Lamballe, la Cooperl est aujourd’hui bien loin du petit groupement de 25 éleveurs des origines. Devenue une multinationale du porc, la…
Mercredi 14 septembre sera présenté à Paris la nouvelle charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique. Splann ! fait partie des plus de 160 signataires.
Les événements causés par le dérèglement climatique se précipitent, poussant de plus en plus de médias à s’emparer du sujet. Mais la façon de l’aborder, ce sujet, a un impact majeur auprès des lecteurs. « Les journalistes ont une responsabilité énorme dans la compréhension qu’a le public de la crise climatique, sujet encore si mal traité », rappelle Loup Espargilière, rédacteur en chef de Vert, le média.
C’est en partant de ce constat qu’une trentaine de médias se sont penchés sur l’écriture d’une charte en 13 points qui devrait devenir une « boussole » pour tous les journalistes – et pas seulement ceux spécialisés sur l’environnement – afin de traiter au mieux ces enjeux.
S’interroger sur les images et le lexique utilisé, s’opposer à certains financements, traiter les sujets de façon transversale… Autant de points auxquels Splann ! adhère. Certains d’entre eux, comme limiter au maximum l’empreinte carbone des activités de nos journalistes, figuraient déjà dans les statuts de notre association.