- Article précédent: Splann ! reçoit le prix « L'Alerte à la une » pour l'enquête sur les implants Essure
- Article suivant: « Splann ! » s'élève contre l'espionnage des journalistes que le gouvernement français compte légaliser
Imerys, mastodonte de l’industrie minière, pèse lourd à Glomel (22). Des analyses réalisées par « Splann ! » révèle un grave pollution aux métaux lourds…
Crééé en 1964 à Lamballe, la Cooperl est aujourd’hui bien loin du petit groupement de 25 éleveurs des origines. Devenue une multinationale du porc, la…
À produire des longues enquêtes !
En plus de rémunérer à la pige des enquêteurs, nous avons créé plusieurs emplois permanents. Au premier trimestre 2023, deux postes de journalistes à temps partiel basés à Guingamp ont été créés, pour coordonner les enquêtes, l’écriture des infolettres ou encore piloter le pôle diffusion.
L’équipe de Splann ! veut aborder l’année 2024 en confortant son modèle économique, mais aussi en concentrant l’effort sur l’investigation, tout en veillant à une organisation du travail respectueuse des salariés.
Nous avons donc créé trois autres postes à temps partiel :
Un vrai soulagement pour toute l’équipe salariée et bénévole de Splann !.
Envie de creuser un peu dans nos finances ? Comme vous pourrez le voir sur ces graphiques, la totalité des dons reçus en 2021, 2022 et 2023 a été affectée au financement de nos enquêtes et, si surplus, ajouté à nos réserves pour d’éventuels frais de justice.
Les frais de fonctionnement (location de bureaux, honoraires comptables, achats, etc.) et de développement (aide à la production de livrets papier et de vidéos, à la diffusion, à la recherche de fonds et collecte de dons, relation avec le public…) sont complétés, si besoin, par des fonds d’aides à la presse indépendante.
La part des subventions dans nos recettes augmentera en 2024.
Pourquoi ? Nous avons cherché d’autres sources de financements pour aider à la diffusion des enquêtes et à notre structuration (bourse pour les entreprises de presse émergentes délivrée par le ministère de la Culture, Local Media for Democracy project, Redadeg).
L’origine de ces fonds est approuvée par l’assemblée générale de l’association, au regard de nos statuts et de notre charte. Ils n’impliquent aucune ingérence éditoriale.
Lire notre rapport d’impact (pdf)
Lire notre rapport d’impact (pdf)
Pour financer un minimum de quatre longues enquêtes par an, il nous faut collecter 128.000 € de dons citoyens, soit près de 11.000 € par mois environ.
C’est pourquoi un objectif minimal de 30.000 € a été fixé pour notre campagne de financement participatif de fin d’année, permettant d’assurer la première enquête de l’année.
Les dons mensuels nous donnent plus de visibilité sur les recettes de l’année et nous permettent donc de lancer des chantiers au long cours. Ils nous encouragent à élargir notre travail d’enquête en Bretagne. Ils évitent de sursolliciter notre public, notamment par mél.
Pour les donatrices et donateurs, c’est l’équivalent d’un abonnement à un journal… Avec l’avantage que ces dons sont déductibles de l’impôt sur le revenu à hauteur de 66 % (comme pour les dons ponctuels ou annuels).
Je soutiens l’enquête en Bretagne
Je soutiens l’enquête en Bretagne